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Gender.

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Richard C. Sha’s revealing study considers how science shaped notions of sexuality, reproduction, and gender in the Romantic period. Through careful and imaginative readings of various scientific texts, the philosophy of Immanuel Kant and Longinus, and the works of such writers as William Blake, Percy Bysshe Shelley, Mary Wollstonecraft, and Lord Byron, Sha explores the influence of contemporary aesthetics and biology on literary Romanticism. Revealing that ideas of sexuality during the Romantic era were much more fluid and undecided than they are often characterized in the existing scholarship, Sha’s innovative study complicates received claims concerning the shift from perversity to perversion in the nineteenth century. He observes that the questions of perversity—or purposelessness—became simultaneously critical in Kantian aesthetics, biological functionalism, and Romantic ideas of private and public sexuality. The Romantics, then, sought to reconceptualize sexual pleasure as deriving from mutuality rather than from the biological purpose of reproduction.At the nexus of Kantian aesthetics, literary analysis, and the history of medicine, Perverse Romanticism makes an important contribution to the study of sexuality in the long eighteenth century.

Gender studies, gender groups

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L'image qui s'impose quand on évoque l'exil politique est le plus souvent masculine : ce serait principalement une affaire d'hommes. Tout au plus quelques femmes apparaissent à titre d'exception, mais la grande majorité d'entre elles sont présentées comme des " réfugiées " ou des " suiveuses ", c'est-à-dire comme des victimes plutôt que des actrices de leur destin. Les femmes n'ont-elles donc jamais dû fuir à cause de leurs convictions, parce que persécutées ou risquant leur vie et leur liberté ? Cet ouvrage présente onze contributions qui, toutes, soulignent l'urgence d'exhumer l'histoire des exilées politiques et l'intérêt de l'étudier dans une dimension de genre. Il montre combien cette approche permet de revisiter le processus de l'exil politique.

Gender identity.

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L'image qui s'impose quand on évoque l'exil politique est le plus souvent masculine : ce serait principalement une affaire d'hommes. Tout au plus quelques femmes apparaissent à titre d'exception, mais la grande majorité d'entre elles sont présentées comme des " réfugiées " ou des " suiveuses ", c'est-à-dire comme des victimes plutôt que des actrices de leur destin. Les femmes n'ont-elles donc jamais dû fuir à cause de leurs convictions, parce que persécutées ou risquant leur vie et leur liberté ? Cet ouvrage présente onze contributions qui, toutes, soulignent l'urgence d'exhumer l'histoire des exilées politiques et l'intérêt de l'étudier dans une dimension de genre. Il montre combien cette approche permet de revisiter le processus de l'exil politique.

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L'image qui s'impose quand on évoque l'exil politique est le plus souvent masculine : ce serait principalement une affaire d'hommes. Tout au plus quelques femmes apparaissent à titre d'exception, mais la grande majorité d'entre elles sont présentées comme des " réfugiées " ou des " suiveuses ", c'est-à-dire comme des victimes plutôt que des actrices de leur destin. Les femmes n'ont-elles donc jamais dû fuir à cause de leurs convictions, parce que persécutées ou risquant leur vie et leur liberté ? Cet ouvrage présente onze contributions qui, toutes, soulignent l'urgence d'exhumer l'histoire des exilées politiques et l'intérêt de l'étudier dans une dimension de genre. Il montre combien cette approche permet de revisiter le processus de l'exil politique.

Gender identity.